Le gourmet solitaire
J'ai enfin pu mettre la main sur la nouvelle bd de Jiro Taniguchi : Le gourmet solitaire.
Martin mon collègue de La Pastèque m'avait fortement conseillé l'achat de cette bd.
Je suis déjà un énorme fan des oeuvres de Taniguchi, mais en plus ce livre-ci concerne la bouffe. Cette histoire co-écrite avec Masayuki Kusumi se déroule dans la région de Tokyo. On y suit un vendeur qui se promène de ville en ville. Son grand plaisir, c'est de découvrir des gargottes où manger des plats simples. Le livre est divisé en plats, chacun présentant une histoire. C'est un récit tout en douceur qui se déguste tranquillement et qui se dévoile comme un bon vin. Il n'y a pas de suspense, on se lit en harmonie avec le personnage, on hésite avec lui entre un bouillon de porc ou des nouilles frites. Ce livre dépayse beaucoup, présente la cuisine traditionnelle japonaise, celle des rues et quartiers ouvriers. On y croise un porc sautés et riz à San'ya, des haricots noirs sucrés en gelée "Mamekan", des "Manjû" grillés, des beignets de poulpe "Takoyaki", ... Ces plats me font maintenant saliver et je rêve de m'envoler à Tokyo pour aller savourer ces mets.
Le dessin de Taniguchi est hyper précis et léger à la fois. Sa construction des planches est admirable et utilise l'espace comme des points d'orgue. Il représente les plats en gros plan avec une description, ce qui donne un côté reportage au récit.
Je ne peux que vous souhaiter de lire ce livre, courrez à votre librairie et savourer ce livre alléchant.
Martin mon collègue de La Pastèque m'avait fortement conseillé l'achat de cette bd.
Je suis déjà un énorme fan des oeuvres de Taniguchi, mais en plus ce livre-ci concerne la bouffe. Cette histoire co-écrite avec Masayuki Kusumi se déroule dans la région de Tokyo. On y suit un vendeur qui se promène de ville en ville. Son grand plaisir, c'est de découvrir des gargottes où manger des plats simples. Le livre est divisé en plats, chacun présentant une histoire. C'est un récit tout en douceur qui se déguste tranquillement et qui se dévoile comme un bon vin. Il n'y a pas de suspense, on se lit en harmonie avec le personnage, on hésite avec lui entre un bouillon de porc ou des nouilles frites. Ce livre dépayse beaucoup, présente la cuisine traditionnelle japonaise, celle des rues et quartiers ouvriers. On y croise un porc sautés et riz à San'ya, des haricots noirs sucrés en gelée "Mamekan", des "Manjû" grillés, des beignets de poulpe "Takoyaki", ... Ces plats me font maintenant saliver et je rêve de m'envoler à Tokyo pour aller savourer ces mets.
Le dessin de Taniguchi est hyper précis et léger à la fois. Sa construction des planches est admirable et utilise l'espace comme des points d'orgue. Il représente les plats en gros plan avec une description, ce qui donne un côté reportage au récit.
Je ne peux que vous souhaiter de lire ce livre, courrez à votre librairie et savourer ce livre alléchant.
2 Comments:
Cher Docteur Fred #1,
Il y a quelques temps, j'exposais à votre expertise ma difficulté à trouver une recette pour un maïs soufflé «éclaté». Et bien grâce à votre bon ami Patrice Demers, j'ai maintenant en poche une recette de Pop corn au caramel et à la fleur de sel qui semble assez intéressante... Cette recette fut présentée à l'émission de Josée Di Stasio le 2 décembre 2005. La voici:
45 ml (3 c. à soupe) de glucose ou de sirop de maïs
375 ml (1 ½ tasse) de sucre
45 ml (3 c. à soupe) de beurre doux
1,5 litre (6 tasses) de maïs soufflé nature
Sel de Maldon ou fleur de sel
Dans une grande casserole à fond épais, verser le glucose, le sucre et ajouter de l’eau juste pour couvrir. Porter à ébullition à feu élevé sans brasser à la cuillère. Au besoin tourner plutôt légèrement la casserole sur elle-même afin de permettre une cuisson uniforme. Lorsque le caramel a obtenu une belle coloration dorée, ajouter le beurre et laisser fondre. Retirer la casserole du feu et ajouter le maïs soufflé en deux fois, en mélangeant après chaque addition.
Étendre aussitôt sur une plaque à pâtisserie munie de papier parchemin et saler. Laisser refroidir puis séparer le maïs. Conserver dans une boîte hermétique pendant quelques jours.
J'ai dîner au Pied de Cochon, invitée par mon fils qui en a fait sa "cantine" préférée, et j'ai adoré, mais, callé après un impréssionnant fish and chips ! Je n'ai même pas pris de dessert
A mon prochain voyage à Montréal, je ne petit déjeune pas, je ne déjeune pas, je me sréserve pour le dîner
Votre blog me fait saliver !
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